KIA Soul EV voiture écologique de l’année 2015
En moins de cinq and, Kia a su faire face à ses difficultés. Kia à remonter la pente et s’est fait une place sur le marché automobile canadien. En 2010 et 2011, la Kia Forte symbolisait ce malaise qui semblait embourber la marque sud-coréenne dans une compétition où elle n’avait pas tous ses moyens. Seulement voilà, le constructeur a su relever la tête en misant sur le segment des électriques. Aperçue au Salon International de l’automobile de Montréal en ce début d’année, la Kia Soul n’a pas tardé à vanter ses mérites et glaner un titre qui n’est pas des moindres.
Sacrée voiture écologique de l’année et meilleure nouvelle voiture urbaine, la Soul EV se fait une place de choix grâce à ces deux distinctions décernées par l’AJAC! Nos étudiants de l’école mécanique automobile seront ravis de découvrir les raisons derrière cette réussite. Découvrons-les ensemble !
Performance et comportement agréable sur la route
À l’heure actuelle, le seul véritable défaut de la Soul EV à l’image des autres véhicules électriques demeure la question des ressources. Les accessoires et options étant gourmands, il n’est pas étonnant que la batterie en subisse les revers. Toutefois, Kia a ajouté une option « Eco » dans le but de réduire la consommation d’énergie des dispositifs comme le chauffage. Somme toute, cela demeure un petit compromis qui n’altère en rien la conduite du multisegment !
De meilleurs attraits de l’habitacle
En repensant l’habitacle, Kia entend jouer des attributs de la Soul EV pour attirer davantage de clients. Avec plus d’espace et un confort accentué pour les passagers, l’utile et l’agréable sont intelligemment réunis dans cette version intégralement électrique. Cependant, l’ergonomie pourrait être revue puisque le pneu de secours est sacrifié pour une boîte de rangement située au plancher du coffre.
Étudiants en formation de mécanique automobile, pensez-vous que la Soul EV puisse inspirer le segment des véhicules intégralement électriques ? Aura-t-elle des chances de s’imposer encore plus dans le marché canadien ?